Il s’agit d’un code, au demeurant très simple, intégré à votre code html. Celui-ci permet de mieux faire comprendre à Google le contenu de votre page et éventuellement le mettre en valeur dans les résultats, typiquement tout en haut, ce qui est bien sur très intéressant. Il est clair que si vous venez de créer votre site avec quelques pages, vous n’avez pas la moindre chance d’être retenu dans les résultats Google, il n’en reste pas moins qu’il vaut mieux entrer ces données au fur et mesure, en attendant le moment où vous aurez plusieurs millions d’utilisateurs par mois. Mais quelles données exactement ?
JSON-LD
il existe plusieurs codes de structuration de données, mais Google a officiellement déclaré que sa préférence allait à JSON-LD, le débat est donc clos. Précisons par ailleurs qu’il est hors de question de mélanger plusieurs codes de structure sur un même site web.
Voici la manière dont Google souhaite que vos informations soient proposées, et comme on le constate ce n’est guère compliqué, même si cela semble rébarbatif de prime abord :
<script type=”application/ld+json”>
{ “@context”: “https://schema.org”,
“@type”: “Organization”,
“url”: “http://www.lafactory.com”,
“name”: “La Factory”,
“contactPoint”: { “@type”: “ContactPoint”,
“telephone”: “+33-123-456-7890”,
“contactType”: “Client service” } }
</script>
Il existe de nombreuses autres entrées possibles, permettant de décrire toutes sortes de choses : Livres, FAQ, tutoriels, offres d’emploi, commerces locaux, vidéos, activités à domicile et encore beaucoup d’autres choses… De plus, dans bien des cas les snippets peuvent être générés automatiquement. C’est le cas par exemple sur www.lafactory.com où nous utilisons microdata au lieu de JSON : faute avouée est à moitié pardonnée. Nos dizaines de milliers de produits sont donc tout autant de snippets, ce que vous avons d’ailleurs testé avec la plateforme de test Google https://search.google.com/test/rich-results En outre, comme on comprend que vous soyez un peu perdu, Google vous propose sur un lien dédié des exemples de tous les types de snippets actuellement disponibles, et dieu sait s’il y en a : https://developers.google.com/search/docs/guides/search-gallery
Outre les millions de visiteurs que nous vous recommandons d’obtenir afin d’avoir une de figurer dans les snippets, dont on rappel qu’ils sont affichés en énorme tout en haut de la première page, il convient de respecter quelques principes de base : à commencer par l’optimisation SEO on-page que nous avons évoquée par ailleurs. En outre, SEMrush a réalisé une étude montrant que la quasi-totalité des snippets à base de texte oscillaient entre 40 et 50 mots. Quant à l’image accompagnant ce court paragraphe, nous recommandons une image d’au moins 1200 pixels de large. Sur lafactory.com nous avons adopté le standard HD avec des images d’une largeur de 1980 pixels.
Les gens demandent aussi
Lorsque vous obtenez une réponse à une question, vous avez pu constater que juste en-dessous vous ait proposée une liste de questions liées à la thématique de la réponse. Pour espérer y figurer, la première chose à faire est de proposer votre contenu sous forme de… question. La réponse, rappelons-le, devrait tourner autour de 40 à 50 mots, en y associant idéalement images et même vidéos, enfin ne pas omettre la structure JSON qui améliorera vos chances, même si le contenu proposé par Google n’en propose pas systématiquement.
La recherche vocale
Lorsque vous obtenez une réponse à une question, vous avez pu constater que juste en-dessous vous ait proposée une liste de questions liées à la thématique de la réponse. Pour espérer y figurer, la première chose à faire est de proposer votre contenu sous forme de… question. La réponse, rappelons-le, devrait tourner autour de 40 à 50 mots, en y associant idéalement images et même vidéos, enfin ne pas omettre la structure JSON qui améliorera vos chances, même si le contenu proposé par Google n’en propose pas systématiquement.
Si la question et la réponse sont concis, on constate cependant qu’elles figurent fréquemment dans des articles de plus de 2000 mots, les articles de moins de 500 mots ne sont pas aussi bien représentés. L’accès à la page web doit être rapide, disons pas plus de 4 secondes, et un certificat SSL doit bien entendu avoir été installé.
Facebook Open Graph
Il s’agit du format proposé par Facebook afin de dicter la manière dont votre site apparaitra lorsqu’il est partagé sur Facebook. Voici un exemple d’un tel code :
<meta property=”og:url” content=”http://www.nytimes.com/2015/02/19/arts/international/when-great-minds-dont-think-alike.html” />
<meta property=”og:type” content=”article” />
<meta property=”og:title” content=”When Great Minds Don’t Think Alike” />
<meta property=”og:description” content=”How much does culture influence creative thinking?” />
<meta property=”og:image” content=”http://static01.nyt.com/images/2015/02/19/arts/international/19iht-btnumbers19A/19iht-btnumbers19A-facebookJumbo-v2.jpg” />
Titre, type de contenu, image… comme on le constate rien de bien compliqué. Ce code est d’ailleurs extrait de la page Facebook expliquant comment optimiser son contenu partagé : https://developers.facebook.com/docs/sharing/webmasters/ https://developers.facebook.com/docs/sharing/webmasters/
Enfin, pour vérifier si votre contenu Open Graph a une jolie tête, il suffit d’utiliser l’outil proposé par Facebook : https://developers.facebook.com/tools/debug/ https://developers.facebook.com/tools/debug/
Vous connaissez désormais l’essentiel pour insérer des snippets dans vos pages.
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